Mes yeux parcourent les vitrines de Vaci Uta, la rue où les touristes se ravitaillent en souvenirs Made in China. Quand mon œil est attiré par une photo illustrant la Une du « Budapest Time’s » . Une jolie cycliste est mise en scène pour illustrer un article relatant d’un évènement à dimension Européenne : la semaine de la mobilité organisée du 16 au 22 septembre. Moi, plutôt au fait de ce type d’actualité en temps normal, ne me suis rendu compte de rien, déconnecté que je suis depuis mon départ à vélo de Chambéry. La foule des cyclistes prete pour la deambulation J’achète le journal. On y parle...
Après avoir franchi la frontière Roumaine sous des trombes d'eau, c'est avec une certaine appréhension que je retrouvais les interminables lignes droites de la plaine hongroise. D'abord dans un petit hôtel pour le plaisir de pouvoir prendre une douche et d'être au chaud l'espace d'une nuit, j'ai repris mes habitudes d'avant la Roumanie en naviguant de campings en campings... avec un certain bonheur je l'avoue. Ceci est une route en Roumanie Car hormis à Mezokövesd, tous furent l'occasion de retrouver un peu de chaleur humaine, de joie et de réconfort. Ce fut cette bande de joyeux lurons à Dombrad...
Deux mois pile poil que je suis parti, et c’est au bord d’une piscine d’eau thermale à 35 degrés, depuis Debrecen, que je vous envoie ce petit article. Voici la Hongrie !!! On m’avait dit que la Hongrie, c’était tout plat. « On », ce sont des hongrois… Alors je m’attendais à une traversée pépère du pays, avant d’attaquer les bosses de la Roumanie. Il n’en fut rien ! Les decouvertes continuent Arrivé par Aggtelek et sa célèbre grotte classée patrimoine mondial de l‘UNESCO, tout commençait pour le mieux : je dégringolais jusqu’à approcher les 100 mètres d’altitude et trouvais une route parfaitement...
Frontière franchie sous la pluie... Je ne m'étais pas rendu compte en traçant mon parcours que la traversée de la Slovaquie serait si rapide... Au point que j'en suis sorti avec une grosse frustration. Les slovaques sont des gens sympas, la nature y est splendide et le terrain parfait pour la pratique du vélo. Un "Bas" et des "Hauts" Poprad, ville maudite ! Des Bas d'abord, avec un premier contact plutôt négatif. Descendant des montagnes Tatras sous la pluie, j'ai atterri à Poprad où le temps a commencé à s'améliorer. Ici, je cherchais un hôtel pour faire sécher mes affaires. Aprèsa voir tourné...
Alors que je tournais en rond depuis une bonne heure dans la petite ville de Miskolc (Hongrie), à la recherche désespérée de l'office de tourisme, je passe par le plus grand des ahsards devant un hôtel devant lequel j'aperçois une jeune femme en tenue de basketteuse. Et pas n'importe quelle tenue puisqu'il s'agit de celle de l'équipe naionale de Hongrie ! Aprs que toute l'équipe soit sortie et discuté avec celle que je connais un peu puisqu'elle a évolué à Bourges, Nora Bujdoso, nous avons fait une petite photo de famille que je vous présente ici en exclusivité !!!!!!!!!!!!!!!!!
Ce devait être un des grands moments de mon voyage. J'attendais avec impatience de de découvrir les merveilleux paysages alpins des Tatras. La traversée de la plus belle et de la plus haute partie des carpates, à cheval entre Pologne et Slovaquie fut en effet un grand moment, malheureusement pour moi, pas dans le sens que je l'aurais souhaité... L'eau est à 25 degrés parait-il. Il fait 14 degrés dehors La météo s'est détraquée au plus mauvais moment, alors que je quittais Krakovie et ses touristes... D'une petite pluie fine intermittente, on est passé à des journées entières de pluie continue....
4 jours apres avoir quitte Prudnik, me voici a Cracovie, au camping... Je deballe mon rechaud qui n'avait pas servi depuis. Et je n'arrive pas a l'allumer. Que se passe t'il ? Horreur !!! J'ai perdu la petite piece metallique qui servait a repartir le carburant sur les parois de maniere a former des flammes en peripherie. Bref, sans ce petit bout de metal, plus de feu, donc, plus de repas chaud, donc, plus de pates, de riz, et risque de problemes d'alimentation a terme tres problematiques... Apres avoir fait tous les magasins de Cracovie distribuant ce type de produit, je rentre bredouille au camping....
Apres avoir change de selle grace a mes amis des cyclos chamberiens venus a prudinik et qui ont donc joue les livreurs de service, il me restait a relever mon guidon d'une quinzaine de millimetres pour obtenir un confort absolu ! Maintenant, je suis comme dans un fauteuil et j'avoue qu'il s'agit d'un reel soulagement !!! Depuis 10 joursm je suis assis comme dans un fauteuil ! 15 mm plus haut pour reposer mes mains et mes bras...
Comme si cela etait fait expres, c'est en arrivant a Auschwitz que le temps s'est detraque... La grisaille s'installant tranquillement puis la pluie s'abattant soudain sur ce site maudit. C'est dans cette ambiance que j'ai decouvert, d'abord, l'entree du camp de Burkenau, avec cette voie de chemin de fer s'engoufrant dans ce qui fut le terminus pour des milliers de victimes de la terreur nazie. Le terminus pour des milliers de vie Puis, le lendemain, durant toute une matinee, j'ai parcouru le musee d'Auschwitz. On s'y sent mal a l'aise. Les images, les temoignages, les objets nous plongent ici...
Participant pour la première fois à une semaine Européenne de Cyclotourisme, j’avais imaginé me retrouver au milieu de cyclistes de tous pays, avec voisin de camping des danois, des allemands, des belges, des hollandais, des tchèques, etc… Et bien sûr des polonais puisque cette semaine se déroulait à Prudnik, petite ville située tout près de la frontière tchèque au sud ouste de de pays. Quelle ne fut donc pas ma surprise lorsque je pénétrais dans le stade - ou, devrais-je dire, sur le terrain de foot annexe au stade - lorsque je me trouvai noyé au milieu d’une armada de campings cars et autres...